Une référence pour les exportateurs et les investisseurs canadiens

Publié le 20/09/2018 à 14:09

Une référence pour les exportateurs et les investisseurs canadiens

Publié le 20/09/2018 à 14:09

Par lesaffaires.com

Nous publions un livre numérique regroupant les meilleures analyses géopolitiques du journaliste François Normand.

Qu’est-ce qu’un risque géopolitique? C’est une décision, un événement ou une tendance qui peut avoir un impact économique et financier sur les activités d’une entreprise ou d’un investisseur à l’étranger.

Le meilleur exemple est l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis en novembre 2016, et dont nous continuons à sentir l’onde de choc au Canada et ailleurs dans le monde.

Presque tous les exportateurs et les investisseurs ont dû adapter leur stratégie pour gérer ce nouveau risque géopolitique. Ce n’est qu’un des nombreux risques géopolitiques dans le monde, avec la renaissance de la Russie, la montée de l’extrême droite en Europe ou les tensions dans la péninsule coréenne.

Pour télécharger le document, cliquez ici

Contrairement aux risques financiers (la hausse des taux d’intérêt aux États-Unis) et économiques (le recul du PIB en Chine) qui sont quantifiables, les risques géopolitiques sont avant tout qualitatifs, donc difficilement quantifiables.

Pour les analyser, il faut faire appel à des disciplines comme l’histoire, la politique, la sociologie ou l’économie politique.

Ce livre s’adresse bien entendu aux exportateurs et aux investisseurs canadiens. Mais il plaira aussi aux consultants en commerce et en investissements internationaux, ainsi qu’aux passionnés d’actualité internationale.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.