Dans l’Arsenal du vendeur, dans le numéro de mai 1928, Les Affaires se livrait à l’époque à un exercice douteux, mais très à la mode à cette époque, dans le monde du commerce. La physiognomonie, ou l’étude du tempérament et du caractère d’une personne à partir de la forme, des traits et des expressions du visage, est une méthode qui fut popularisée au 19e siècle.
«La connaissance des caractères est urgente pour réussir dans l’art de vendre», lit-on. Toutefois, on se rend rapidement compte que cette méthode a des limites. «C’est absolument la répétition de ce que nous constatons chez les animaux.»
En effet, cette pseudo-science a été profondément critiquée, et elle est considérée comme un des éléments du mouvement de racisme scientifique, voire même du nazisme, qui ont pourri le 20e siècle. Voilà où l’analyse de l’«homme à la figure rubiconde», l’«homme à la figure angulaire» et l’«homme à la figure en losange» peut mener...
À relire: Les trente glorieuses et les débuts de la société de consommation, par François Normand
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