En 2008, l'École a adopté une politique de développement durable qui se décline dans toutes les sphères : enseignement, recherche, bâtiments, achats et événements écoresponsables, promotion du transport en commun et des déplacements à vélo pour ses employés et ses étudiants.«Nous voulons être un acteur responsable», affirme Patrice Catoir.
L'École se targue d'avoir «le meilleur bilan énergétique des universités québécoises, avec une consommation de 0,52 gigajoule par mètre carré [GJ/m2] comparativement à une moyenne de 1,36 GJ/m2 [en 2012-2013]», indique-t-il. Sur le plan de la gestion des matières résiduelles, le pourcentage de récupération global des matières valorisables est passé de 24 % à 68 % entre 2008 et 2013.
Le bâtiment, qui abritait la brasserie Dow et dans lequel a été installé le carrefour d'innovation Ingo, est certifié LEED, tout comme les résidences universitaires de la quatrième phase, bordée par les rues de la Montagne et William. La Maison des étudiants, en cours de construction et qui aura une signature architecturale très moderne, vise également la certification LEED.
L'ÉTS se concentre en outre beaucoup sur le verdissement des espaces. L'école a intégré un grand espace vert dans la quatrième phase de ses résidences universitaires ; le stationnement situé devant l'ancien planétarium devrait aussi devenir un jardin. Au-delà de son action en tant qu'acteur immobilier, l'ÉTS intègre le concept de développement durable dans la formation de ses ingénieurs.
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