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Wall Street a souligné de belle façon le départ du chef du gouvernement italien, Silvio Berlusconi. À Bay Street, en revanche, on s'est montré moins enthousiaste. La Bourse de New York a accéléré son rebond en milieu d’après-midi alors que la Bourse de Toronto a maintenu ses modestes gains.

Le chef du gouvernement italien démissionnera de son poste une fois que le parlement aura adopté le plan d’austérité promis aux Européens. Mardi, le gouvernement a perdu l’appui de la majorité du parlement, mais l’opposition s’est abstenue de le renverser afin d’éviter une crise. La réaction positive des marchés laisse entendre que les investisseurs espèrent qu’un nouveau chef sera plus à même de diriger l’Italie en cette période mouvementée.

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Les principaux indices à New York ont pris près de 1%. La Bourse de Toronto a regardé la progression de loin alors que le ministre des Finances Jim Flaherty a dit prévoir une croissance plus lente pour le Canada.

Le secteur des services financiers canadiens a bien accueilli la nouvelle italienne. L’action de la Banque Royale du Canada a bondi de 1,02% à 46,47$.

Le pétrole a aussi enregistré une forte progression. Les investisseurs anticipent un règlement à la crise européenne et les inventaires ont diminué.

À la fermeture, voici l’état de la situation à Toronto et New York :

— Le S&P/TSX monte de 27 points, ou 0,22 %, à 12 488 points;

— Le S&P 500 gagne 15 points, soit 1,17%, à 1 275 points;

— Le Dow Jones avance de 102 points, ou 0,84 %, à 12 170 points;

— Le Nasdaq gagne 32 points, ou 1,20 %, à 2 727 points;

— Le baril de pétrole bondit de 1,49 $ US, ou 1,56 %, à 97,01 $ US;

— L’once d’or recule de 6,00 $ US, ou 0,33 %, à 1 785,10 $ US;

— Le dollar canadien ajoute 0,37 cent US, ou 0,37 %, à 99,08 cents US.