Durant la semaine, le nombre de demandes en continu (depuis plus d’une semaine) a diminué de 15 000 à 6,74 millions. Le nombre de demandes initiales a quant à lui reculé de 4000 à 621 000, selon le Département américain du Travail.
«Il s’agit de baisses minimes, mais les investisseurs américains y ont vu là une autre lumière verte s’allumer», raconte Sébastien Lavoie, économiste chez Valeurs mobilières Banque Laurentienne.
À New York, le Dow Jones a terminé la séance sur un gain de 75 points (0,86%) à 8 750, pendant que le S&P/500 grimpait de 11 points (1,15%) à 942. De son côté, le Nasdaq a progressé de 24 points (1,32%) à 1 850.
À Toronto, c’est encore le pétrole qui a dicté sa loi. Le prix du brut a rebondi à un sommet de 7 mois, frôlant les 70 dollars américains, avant de terminer la journée à 68,82 dollars américains, ce qui représente une hausse de 2,69 dollars (4,07%). «La hausse du pétrole est liée à l’optimisme à l’effet que l’économie américaine commencera à se replacer durant la 2e moitié de 2009, ce qui devrait stimuler la demande. De plus, le pétrole grimpe en réaction à l’abandon du dollar américain comme valeur refuge», affirme Sébastien Lavoie.
Le S&P/TSX a clôturé la séance sur un gain de 187 points (1,82%) à 10 477.
Le dollar canadien a grimpé de 1,18 cent à 91,23 cents américains.