À la fin de la séance, l’indice S&P/TSX de la Bourse de Toronto cède du terrain pour une troisième séance consécutive. Il perd 30,85 points, soit un recul de 0,37 %, à 8296,96 points.

Aux États-Unis, le Dow Jones avance de 172,60 points, à 8591,69. De son côté, le Nasdaq avance 42,58 points, pour s’établir à 1492,38. Le S&P 500 gagne 21,93 points, à 870,74.

Le pétrole se maintient sous la barre de 50 $US. Il perd 0,17 $US le baril, pour se situer à 46,66 $US. L’or cède 12,80 $US l’once, à 770,50 $US. Le dollar canadien recule de 0,36 cent américain, à 0,7984 $US.

«L’indice d’activité du secteur non manufacturier (ISM) illustre les difficultés de l’économie américaine. À 37,3, il est le plus bas taux depuis sa mise en place en 1997. Les résultats de l’enquête ADP portant sur l’emploi dans le secteur privé sont aussi très décevants», dit Pierre Lapointe, économiste en chef et stratège de la Financière Banque Nationale.

Hausses en Europe

À la clôture quotidienne, les principaux indices européens affichent une hausse, malgré la multiplication des données illustrant la faiblesse de l’économie continentale.

À Paris, l’indice CAC avance de 13,75 points, à 3166,65, soit une hausse de 0,44 %. L’indice britannique FTSE gagne 47,10 points, pour se situer à 4169,96. Il s’agit d’un bond de 1,14 %. De son côté, l’indice allemand DAX se remplume de 0,78 %, ou 35,45 points. Il s’établit à 4567,24.

En Asie, les indices ont gagné du terrain. Le Nikkei affiche un bond de 140,41 points, soit une hausse de 1,79 %. Il clôture à 8004,10. L’indice Hang Seng de Hong Kong a pris 182,81 points, à 13588,66. Il s’agit d’une avancée de 1,36 %.