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Les marchés canadiens et américains connaissent une journée de modestes progressions alors que des déclarations viennent rassurer temporairement sur la situation de la crise en Europe.
Les banques françaises ont rejeté les allégations selon lesquelles leur accès aux liquidités serait limité.
La chancelière allemande, Angela Merkel, qui est réputée souffler le chaud et le froid sur la gestion de la crise des dettes souveraines, a dit que la zone devait à tout prix protéger son union monétaire.
Le secteur technologique connaît une forte progression mardi. Le Nasdaq affiche une performance de loin supérieur au S&P 500 et au Dow Jones.
Toujours à New York, Best Buy voit son action encaisser un repli de 6,29 %, à 23,27 $ US, après que la compagnie ait manqué les attentes des analystes lors de la publication de ses résultats du second trimestre. La compagnie a vu son bénéfice reculer de 30 %, à 177 millions $ US, et a revu à la baisse ses prévisions quant au bénéfice pour l'ensemble de l'exercice 2011.
À la fermeture, voici l'état de la situation à Toronto et New York :
— Le S&P/TSX monte de 57 points, ou 0,47 %, à 12 205 points;
— Le S&P 500 avance de 11 points, ou 0,91 %, à 1 173 points;
— Le Dow Jones ajoute 45 points, ou 0,4 %, à 11 006 points;
— Le Nasdaq avance de 37 points, ou 1,49 %, à 2 532 points;
— Le baril de pétrole s'apprécie de 1,73 $ US, ou 1,98 %, à 89,94$ US;
— L'once d'or gagne 23 $ US, ou 1,26 %, à 1 836 $ US;
— Le dollar canadien ajoute 0,70 cent US vis-à-vis le dollar américain, à 101,40 cents US.
