Aux États-Unis, la hausse-surprise des demandes d'assurance-emploi ne semble avoir aucun impact sur l'optimisme des investisseurs, au lendemain de l'annonce d'un plan de 600 milliards $ US par la Réserve fédérale américaine pour stimuler une économie touj
C'est l'euphorie sur les marchés boursiers nord-américains jeudi depuis l'ouverture, au lendemain de l'annonce d'un plan de 600 milliards $ US par la Réserve fédérale américaine pour stimuler une économie toujours morose au pays de l'oncle Sam.
L'or et l'argent connaissent également un départ canon, avec des gains de 3 % et 4,5 % respectivement, alors que les investisseurs cherchent à se protéger d'un dollar américain qui perd de son lustre.
Vers 10h, le portrait est le suivant à Toronto et New York :
- Le S&P/TSX grimpe de 196 points, ou 1,55 %, à 12 867 points;
- Le S&P 500 monte de 14 points, ou 1,2 %, à 1 212 points;
- Le Dow Jones avance de 142 points, ou 1,2 %, à 11 353 points;
- Le Nasdaq progresse de 30 points, ou 1 2 %, à 2 570 points;
- Le baril de pétrole s'enflamme de 1,60 $ US, ou 1,9 %, à 86,29 $ US;
- L'once d'or se paie une ascension de 40,50 $ US, ou 3 %, à 1 378,10 $ US;
- Le dollar canadien s'apprécie de 0,2 cent US, ou 0,2 %, à 99,69 cents US;
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À Toronto, le titre de Potash Corp chute de 3,9 %, ou 5,71 $, à 140,50 $, depuis que le ministre canadien de l'Industrie Tony Clement a annoncé son opposition à la tentative d'acquisition par BHP Billiton.
Aux États-Unis, la hausse-surprise des demandes d'assurance-emploi ne semble avoir aucun impact sur l'optimisme des investisseurs, même si cela met fin à la tendance baissière des dernières semaines. La semaine dernière, les demandes d'assurance-emploi ont connu un bond de 20 000 demandes, pour se retrouver à 457 000 demandes.
En Europe, la Bourse de Londres se retrouve à un sommet en plus de deux ans depuis que la Fed a annoncé son second plan de mesures quantitatives.
