Second Cup évalue ses options stratégiques

Publié le 31/10/2016 à 16:46

Second Cup évalue ses options stratégiques

Publié le 31/10/2016 à 16:46

Par La Presse Canadienne

La chaîne de cafés Second Cup (Tor., SCU) a indiqué lundi avoir formé un comité spécial afin d'évaluer ses options stratégiques.

Plus tôt cette année, l'entreprise établie à Mississauga, en Ontario, avait indiqué qu'elle désirait refinancer sa dette.

La mise en place d'un comité chargé de l'évaluation d'options stratégiques se traduit souvent par une vente ou une transaction majeure.

La chaîne de cafés a éprouvé des difficultés à conserver ses parts de marché face à des concurrents comme Tim Hortons et Starbucks, qui poursuivent leur expansion.

Au dernier trimestre, Tim Hortons a ajouté 25 restaurants à son réseau, qui compte plus de 3700 établissements au Canada, alors que Starbucks compte 1378 établissements au pays.

Second Cup, qui a vu le jour en 1975, compte 298 établissements franchisés au Canada, comparativement à 327 il y a un an.

L'entreprise a également dévoilé une perte nette de 75 000 $, ou un cent par action, au troisième trimestre terminé le 24 septembre, ce qui représente une amélioration par rapport une perte nette de 1,1 million $, ou neuf cents par action, à la même période l'an dernier.

Les revenus ont été de 7,7 millions $, comparativement à 9,3 millions $ au troisième trimestre de 2015.

Les ventes comparables, un indicateur clé dans le secteur du commerce de détail, ont reculé de 1,2 pour cent au troisième trimestre, notamment en raison de la morosité économique en Alberta.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.