L'annonce de cet accord avait permis aux prix du baril de monter lors des échanges asiatiques, mais ce sursaut d'optimisme n'a pas duré, les cours effaçant leurs gains au début des échanges européens, dans un marché empreint de prudence.
Les conditions imposées à Athènes « tempèrent l'optimisme » des investisseurs, a souligné M. Smith car « le marché s'interroge sur la capacité de la Grèce à mettre en oeuvre les coupes budgétaires et à racheter sa propre dette ».
Ces développements ont relégué au second plan les indicateurs positifs publiés dans la matinée à Washington sur le moral des ménages, qui a poursuivi son amélioration en novembre, ou sur les commandes de biens durables, qui sont restées stables en octobre alors que les analystes les attendaient en baisse.