Les exportations à la rescousse du Québec, selon RBC

Publié le 19/03/2014 à 08:43

Les exportations à la rescousse du Québec, selon RBC

Publié le 19/03/2014 à 08:43

Par lesaffaires.com

Photo: Bloomberg

L’amélioration des exportations québécoises soutiendra l’économie de la province pour les deux prochaines années, mais la croissance restera plus faible que dans le reste du Canada, selon l’équipe d’économistes de la Banque RBC.

Le PIB réel de la province devrait croître de 1,9% en 2014 et de 1,8% en 2015, selon leur prévision. En comparaison, la croissance devrait être de 2,5% et de 2,7% pour le reste du pays.

RBC note que les exportations québécoises ont crû à un rythme plus rapide que les importations pour la première fois en six ans au cours de trois premiers mois de l’année 2013.

« Les statistiques de l'ensemble de l'année relatives aux principales catégories d'exportations du Québec indiquent des augmentations en 2013, tout particulièrement pour l'aluminium, les aéronefs et les pièces pour aéronefs, explique Craig Wright, premier vice-président et économiste en chef, RBC. Dans bien des cas, ces gains ne sont qu'un début, selon nous, car le déficit commercial continuera de se résorber en 2014 et au-delà à la faveur de l'augmentation de la demande américaine et de la faiblesse du dollar canadien. »

M. Wright constate que les intentions d’investissements non résidentiels sont en légère baisse de 0,3% pour 2014. L’impact du ralentissement de l’immobilier résidentiel devrait être aussi plus modeste qu’en 2014.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.