Le prix du baril était toutefois aidé par quelques bons indicateurs américains, de bon augure pour la demande énergétique aux Etats-Unis.
Les promesses de ventes de logements ont notamment atteint en janvier leur niveau le plus élevé en près de trois ans et les commandes de biens durables (hors transport) ont progressé.
Autre élément surveillé par les courtiers pendant la séance: à l'issue d'une deuxième journée de négociations entre les grandes puissances et l'Iran sur le programme nucléaire de Téhéran, les parties se sont accordées sur de nouvelles discussions à partir de la mi-mars.
Si ces pourparlers aboutissaient, les sanctions imposées par les Etats-Unis et les pays de l'Union européenne à l'encontre notamment des exportations de brut de l'Iran, important producteur de pétrole, pourraient être allégées.