"Dans douze à vingt-quatre mois, on connaîtra un apaisement des marchés financiers", a déclaré M. Schäuble sur la radio française Europe 1, qui a en outre réaffirmé que la volonté de Berlin n'était pas que la Grèce sorte de l'Union monétair.
Les inquiétudes pour l'avenir de la Grèce au sein de la zone euro, compromis par la montée en puissance des partis anti-austérité qui pourraient accéder au pouvoir après les prochaines législatives prévues le 17 juin, entretenaient en outre la crainte d'une contagion à d'autres pays lourdement endettés de l'Union monétaire et continuaient de dominer les marchés.