Le FMI abaisse ses prévisions pour le Canada

Publié le 14/04/2015 à 10:05

Le FMI abaisse ses prévisions pour le Canada

Publié le 14/04/2015 à 10:05

Par lesaffaires.com

La croissance économique serait moins vigoureuse que prévu au Canada, croit le Fonds monétaire international (FMI). L’organisme ajoute que la baisse des prix du pétrole pourrait mener à une deuxième baisse des prévisions.

L’économie devrait progresser de 2,2% et 2% en 2015 et 2016, respectivement. Cela représente une baisse de 0,1 point de pourcentage par rapport à la même période l’an dernier.

La baisse du dollar canadien et le renforcement du partenaire commercial américain permettent au Canada d’enregistrer une «solide croissance », note le FMI dans son rapport. «Cela a permis une augmentation des exportations, mais nous attendons toujours que cela se traduise en investissement et en création d’emplois.»

«Toutefois, l’inhabituelle chute des prix du pétrole pourrait encore réduire les investissements des entreprises, fragiliser le secteur énergétique et miner la création d’emplois», prévient-on.

Le malheur des uns fait parfois le bonheur des autres. Le FMI voit d’un œil positif la baisse des prix de l’énergie. La diminution des coûts énergétiques devrait ajouter un point de pourcentage à la croissance économique mondiale.

Aux États-Unis, notamment, la baisse des prix à la pompe devrait fouetter la demande des consommateurs. L’économie américaine devrait croître à un rythme de 3,1% en 2015 et 2016. Ces prévisions restent les mêmes que celles formulées en janvier dernier.

 

 

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.