Le pétrole a connu sa plus forte progression hebdomadaire en deux ans en raison de la crise politique qui sévit en Libye.
Hier, le baril a atteint un sommet en 29 mois, les investisseurs craignant que le pays ne réduise ses livraisons de deux tiers.
«Nous pourrions voir le prix monter encore plus haut, si les inquiétudes ne se dissipent pas, croit Phil Flynn, vice-président de la recherche chez PFGBest à Chicago. L’Arabie Saoudite, Washington et l’AIE ont réussi à calmer le jeu, mais cela ne pourrait pas être suffisant.»
À la fermeture, le baril de pétrole s’échange à 99,33 $ à New York. C’est une progression de 25%, depuis un an, et de 14% depuis une semaine.
Avec Bloomberg