Elle fait valoir que la crise persistante de la zone euro pèse sur la confiance au niveau mondial, affaiblissant le commerce et l'emploi et freinant l'expansion économique tant dans les pays de l'OCDE que dans les pays non membres de l'organisation.
Même si les États-Unis se ressentent du ralentissement dans la zone euro, la croissance devrait s'y établir à un taux annualisé de 2% au troisième trimestre et de 2,4% au quatrième, selon l'OCDE.