L'indicateur avancé composite : la plus faible croissance en un an

Publié le 19/08/2010 à 09:26

L'indicateur avancé composite : la plus faible croissance en un an

Publié le 19/08/2010 à 09:26

Par La Presse Canadienne

L'indicateur avancé composite a ralenti, ayant enregistré une hausse de 0,4 % en juillet après avoir progressé de 0,7 % en juin, a dit Statistique Canada jeudi. C’est la plus faible croissance depuis le mois de juin 2009.

Le ralentissement est principalement attribuable au secteur des ménages, où trois composantes ont chuté, a ajouté l'agence fédérale. Aucune des sept autres composantes n'a diminué.

L'indice du logement (-4,1 %) a continué à se replier par rapport aux sommets atteints récemment.

Les mises en chantier ainsi que les ventes ont contribué au recul. La contraction des ventes de maisons s'est reflétée dans la diminution de 0,6 % des ventes de meubles et d'appareils électroménagers. La demande d'autres biens durables a affiché une cinquième baisse consécutive.

Le secteur de la fabrication a poursuivi sa reprise progressive. Les nouvelles commandes de biens durables ont augmenté de 2,2 %, soit une sixième hausse consécutive.

Les livraisons à la hausse ont contribué à la remontée constante du ratio des livraisons aux ventes.

Les augmentations de la demande dans le secteur de la fabrication sont conformes à la croissance soutenue de l'indicateur avancé américain (0,4 %), même si ce dernier a lui aussi connu une croissance plus modérée en raison du ralentissement de la demande des ménages.

 

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.