BCE: Mario Draghi ouvre la porte à des «mesures exceptionnelles»

Publié le 29/08/2012 à 08:24, mis à jour le 29/08/2012 à 10:10

BCE: Mario Draghi ouvre la porte à des «mesures exceptionnelles»

Publié le 29/08/2012 à 08:24, mis à jour le 29/08/2012 à 10:10

Par AFP

« Ceux qui veulent revenir au passé ne comprennent pas la signification de l'euro. Ceux qui affirment que seule une vraie fédération pourrait être durable mettent la barre trop haute. Nous avons besoin d'un effort gradué et structurel pour compléter l'Union monétaire européenne », a-t-il encore estimé.

« Quand les marchés sont fragmentés ou influencés par des craintes irrationnelles, les signaux de notre politique monétaire n'atteignent pas les citoyens de la même manière à travers la zone euro », a-t-il dit pour justifier le recours prévu à de nouvelles mesures non conventionnelles.

M. Draghi pourrait dévoiler de premiers éléments de son plan lors de sa conférence de presse après la prochaine réunion du conseil des gouverneurs le 6 septembre.

En début de semaine Jörg Asmussen, membre du directoire de la BCE, avait déjà assuré que la BCE s'en tiendrait au cadre de son mandat, qu'elle ne rachèterait que des obligations publiques de court terme et que ses interventions seraient à l'avenir coordonnées avec celles des fonds de secours des États européens, le FESF et son successeur, le MES. Cette action concertée doit permettre d'obliger les États de la zone euro appelant au secours à mener des réformes en profondeur de leur politique économique.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.