Photo: Bloomberg
Que faire avec les titres de Genivar, Groupe Forzani et Rogers Communications ? Notre équipe de journalistes vous présente quotidiennement les opinions des analystes sur certains titres à surveiller.
Fonds de revenus Genivar (TSX : GNV.UN)
L’entreprise a annoncé hier une autre acquisition, celle de Terrain Group, une firme d’ingénierie de 150 employés qui exerce principalement ses activités dans les provinces de l’Atlantique. Mark Neville de Scotia Capitaux s’attend à une autre acquisition prochainement dans la région et augmente ses prévisions de bénéfice pour l’exercice 2011. Du coup, l’analyste qui maintient sa recommandation de «performance de secteur», hausse de 28,50$ à 29,00$ son cours-cible sur le titre et. M.L.
Groupe Forzani (Tor., FGL)
Les Jeux olympiques et le printemps hâtif ont aidé le détaillant d’articles de sport Forzani à son trimestre d’avril, estime Jim Durran, analyste à la Financière Banque Nationale. Selon lui, l’entreprise propriétaire de la bannière Sports Experts dévoilera un bénéfice par action de 0,11 $ le 8 juin prochain, après la fermeture des marchés. Les analystes sondés par Bloomberg tablent plutôt, en moyenne, sur un bénéfice par action de 0,03 $. À 20 $, la cible un an de M. Durran est d’ailleurs légèrement supérieure au consensus, qui est d’environ 19 $. Le Groupe Forzani tiendra son assemblée annuelle le lendemain du dévoilement des résultats trimestriels, soit le 9 juin. M.-C.M.
Rogers Communications (Tor., RCI.B)
Les dividendes de Rogers devraient croître de 40 % à 50 % d’ici quatre ans, estime Greg MacDonald, analyste de la Financière Banque Nationale. Le titre de l’entreprise de télécommunications torontoise serait donc l’une des sociétés inscrites au TSX dont les dividendes connaîtront la plus forte croissance à moyen terme. L’action de Rogers devrait aussi s’apprécier de près de 20 % d’ici un an. Même si la concurrence est forte dans ce secteur, M. MacDonald croit que cette réalité est bien reflétée dans la valeur de l’action, et que les investisseurs n’ont pas à s’en inquiéter outre mesure. De plus, la reprise est déjà entamée pour le secteur des télécommunications, conclut l’analyste. S.R.
