Le nombre de sommets, les emprunts pour investir et la faible volatilité sont à des niveaux extrêmes qui font craindre une chute boursière imminente. Ces craintes ne sont pas fondées, estime Pierre Lapointe, stratège mondial de Pavilion Corp. Lorsqu'une si forte proportion des titres du S&P 500 se négocient près de leur sommet des 52 dernières semaines, la Bourse s'apprécie 94 % du temps, dans les 12 mois qui suivent, depuis 1991. L'encours des prêts pour investir dépasse les records de 2000 et de 2007. Mais cet indicateur n'a aucune valeur avant-coureur, puisqu'il augmente et baisse en même temps que la Bourse. Le taux de volatilité de 11,4 est aussi le plus bas depuis 2007, grâce à l'intervention des banques centrales, mais ce n'est pas non plus une menace pour la Bourse. Ce taux est resté faible sur de longues périodes dans le passé.
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