McDonald's: le bénéfice 2012 s'effrite, pessimisme pour le début 2013

Publié le 23/01/2013 à 10:06

McDonald's: le bénéfice 2012 s'effrite, pessimisme pour le début 2013

Publié le 23/01/2013 à 10:06

Par AFP

L'Asie Pacifique a enregistré une croissance positive des ventes sur l'année (+1,4%) mais une baisse de 1,7% sur le quatrième trimestre. La bonne performance en Australie a été plus qu'éclipsée par la faiblesse persistante au Japon, précise le groupe.

« McDonald's a continué à croître tout en restant focalisé sur ce qui compte pour nos clients, bien que nos résultats reflètent l'environnement difficile dans lequel nous opérons », a commenté Don Thompson, directeur général.

L'action grappillait 0,32% à 93,25 dollars lors des échanges électroniques précédant l'ouverture de la séance officielle.

« Les résultats de McDonald's étaient tout juste OK », a commenté le site d'analystes 247wallst.Com.

Le groupe a donné des prévisions prudentes.

« Alors que nous commençons la nouvelle année, nos cibles de long terme en devises constantes restent les mêmes », avec notamment « une croissance des ventes mondiale de 3% à 5% », a souligné Don Thompson.

Mais « à court terme (le groupe) table sur des pressions sur le chiffre d'affaires et le bénéfice, avec les ventes de janvier à nombre de magasins comparables attendues en baisse », a-t-il averti.

En 2013, le groupe compte investir 3,2 milliards de dollars pour ouvrir entre 1 500 et 1 600 nouveaux restaurants dans le monde, et veut en rénover 1 600 autres.

À suivre dans cette section

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.