Dans ce contexte, l'écart des prix entre le WTI et le Brent s'est encore accentué mercredi, s'établissant à 23,08 dollars à la clôture, en raison de dynamiques contrastées, selon les analystes.
En effet, le WTI new-yorkais, basé sur la production de brut texan, est notamment pénalisé par l'abondance des réserves pétrolières américaines, la production de pétrole aux États-Unis ayant récemment atteint son plus haut niveau depuis décembre 1996.
Le Brent londonien voit de son côté son recul tempéré par l'escalade des tensions géopolitiques et le redémarrage plus lent que prévu de plateformes dans la mer du Nord à l'issue d'une période de maintenance en septembre.