Le père de l'acronyme BRIC en 2001, Goldman Sachs, ferme son fonds qui investit dans le Brésil, la Russie, l'Inde et la Chine. C'est la fin symbolique d'une époque qui aura duré 14 ans. Ces marchés ont donné un rendement de 308 % pendant les 10 ans terminés en 2010, par rapport à 15 % pour le S&P 500. Depuis 5 ans toutefois, le fonds BRIC de Goldman Sachs a reculé de 21 % et son actif a fondu de 842 M$ US, en 2010, à 98 M$ US. Le courtier le fusionne donc à un autre fonds plus élargi de marchés émergents. Chez Hexavest, la déprime des marchés émergents et le désintérêt des investisseurs sont deux signaux à contre-courant. «Le moment est bien choisi pour bâtir une position dans les fonds élargis de pays émergents, parce qu'ils se négocient au rabais de 30 % par rapport aux fonds de marchés développés et que plusieurs devises se sont déjà fortement dépréciées», explique le stratège Jean-Pierre Couture.
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