Cinq femmes au sommet

Offert par Les Affaires


Édition du 09 Mars 2022

Cinq femmes au sommet

Offert par Les Affaires


Édition du 09 Mars 2022

Par Catherine Charron

(Photo: 123RF)

Malgré les turbulences qui perturbent le monde des affaires depuis bientôt deux ans, il n’y a jamais eu autant de femmes qui reprennent les commandes d’organisations cotées en Bourse.

Tandis que la gent féminine ne représentait que 15 % des équipes de direction et 17% des membres des conseils d’administration des sociétés de l’indice composé S&P/TSX en 2015, elles y occupent respectivement 20,5 % et 31 % des sièges en 2021, selon l’organisme qui prône la diversité à la tête des entreprises, 30% Club Canada.

Bien que les pressions exercées par la pandémie sont loin de s’estomper, cinq de ces entreprises menées par des femmes présentent le plan qu’elles suivront afin qu’à la sortie de cette crise, elles se trouvent en bien meilleure posture.

 

Rania Llewellyn

Rania Llewellyn accorde une grande importance à la culture de la Banque Laurentienne.

 

Linda Hasenfratz

Linda Hasenfratz a remplacé son père à la tête du conseil d'administration de Linamar au début de l'année.

 

Tracy Robinson

Après 27 ans auprès du Canadien Pacifique, Tracy Robinson est devenue PDG de son concurrent, le Canadien National.

 

Annick Guérard

Lorsque ­Annick ­Guérard a repris les commandes de ­Transat, l’entreprise se trouvait dans un épais brouillard.

 

Meghan Roach

L'entrée en poste de Meghan Roach a été salutaire pour l’entreprise, malgré les moult fermetures de ses points de vente.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.