Netflix (NFLX, 381 $US) : la thèse pessimiste
La perte de séries populaires comme «Friends» et «The Office» ainsi que du contenu de Disney, n’est pas une bonne nouvelle pour Netflix, croit Michael Pachter, de Wedbush.
L’analyste reconnu comme la voix du pessimisme par rapport à la société de diffusion en continu juge que la migration du contenu et les augmentations de prix pourraient ralentir la croissance du nombre d’abonnés.
Il note que Netflix brûle de plus en plus de liquidités pour financer son contenu, ce qui rend impossible l'évaluation de la société selon une analyse des flux de trésorerie actualisés.
En prévision du deuxième trimestre (dévoilé le 17 juillet), M. Pachter anticipe des revenus de 4,9 G$US et un bénéfice par action de 0,56$. Ces chiffres sont relativement similaires au consensus.
Wedbush renouvelle sa recommandation «sousperformance» et sa cible de 183 $US, moins de la moitié du prix de l’action.