À LA UNE. Les start-ups de Montréal attirent de gros sous. Cela ne signifie pas pour autant que l’accès au capital de risque est facile.
Nos start-ups attirent de gros sous. En 2016, elles ont reçu des investissements totalisant 334 millions de dollars américains, ce qui place la métropole au 2e rang au Canada.
Est-ce que ça signifie que l’accès au capital de risque est facile pour les jeunes entrepreneurs? Pas du tout ! En fait, moins de 5% des demandes de financement sont couronnées de succès.
Comment faire partie de ces « happy few » ?
Il n’y a pas de recette magique, mais soyez certains que les investisseurs vont soigneusement évaluer l’équipe des fondateurs, leur produit, et comment ils comptent s’y prendre pour générer rapidement des dizaines de millions de dollars…
Mais de tous les paramètres, le plus important, c’est le caractère innovant. L’industrie du capital de risque carbure à l’innovation de rupture. Les projets qui ont le plus de chances de passer sont ceux qui promettent rien de moins que de révolutionner un secteur de l’économie.
Alors chères start-ups, on vous l’aura dit : Faites la révolution, sinon, rien !
Et commencez par lire notre reportage sur le sujet dans le dernier numéro de Les Affaires.