Pour le yoga
Pocket Yoga
Difficile pour une montre connectée de détecter le moment où vous commencez à faire du yoga. Même si, comme votre humble obligé, cette activité vous fait suer à grosses gouttes dès les premiers gestes, elle pourrait très bien penser que vous pratiquez en réalité une autre activité sportive. Évidemment, une application d’exercices générale fera le suivi adéquat des données biométriques tandis que votre professeur, à l’avant, vous expliquera comment passer de la salutation au soleil à la position du cobra. Si vous n’avez pas de professeur, Pocket Yoga est une application multi plateforme qui pourrait vous intéresser. Il suffit de dérouler le tapis, d’enfiler les écouteurs et de suivre les directives suggérées par le yogi virtuel logé dans sa montre.
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Quand il pleut
Spotify
Ça ne fait pas très longtemps que Spotify offre une appli pour Apple Watch digne de ce nom. Elle possède des limites qui rendent impossible son utilisation loin d’un iPhone, toutefois. Pas moyen de jouer de la musique en mode hors ligne ou via la connexion LTE de la montre, choses que fait Apple Music. En revanche, vous pouvez très bien l’utiliser pour éviter d’avoir à interagir directement avec votre mobile. On peut contrôler la musique, personnaliser les listes de lecture, et même transmettre le signal sonore à un haut-parleur via Bluetooth, WiFi ou autre à même son poignet.
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L’hiver prochain
Snoww
Une virée à Whistler plus tôt cet hiver a permis de rencontrer le créateur de cette application, qu’on peut présenter comme un Strava pour skieurs et planchistes exclusivement. Sur sa montre, on peut voir différentes données compilées tandis qu’on dévale les pistes, comme sa vitesse de pointe, le nombre de descentes et la distance totale parcourue. Une fois au chalet, le tout est transmis à son téléphone, qui peut aussi servir à retrouver ses amis égarés ailleurs sur la montagne. On peut même les repérer en réalité augmentée, en levant l’appareil devant soi et en pointant dans la bonne direction. Le tout étant partagé sous forme d’un réseau social, on peut éventuellement comparer nos habiletés sur les planches à celles d’autres adeptes de poudreuse d’ailleurs dans le monde.
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