Il déménage son usine... à l'insu des employés !

Publié le 01/06/2009 à 00:00

Il déménage son usine... à l'insu des employés !

Publié le 01/06/2009 à 00:00

Le patron d'une usine de pièces d'automobiles en France est passible d'un an de prison et d'une amende de 10 000 euros (16 000 $) pour avoir tenté de déménager son usine en Slovaquie à l'insu de ses employés ! Mickael Bacon, un Britannique, dirigeait BRS Découpage, à Devecey. En février 2008, il a été surpris par ses employés alors qu'il sortait de l'équipement de l'usine en catimini. La quarantaine d'employés l'ont alors séquestré pendant deux jours avant de le traîner devant le tribunal de commerce pour le forcer à déposer son bilan. Il a été accusé d'abus de biens sociaux et de banqueroute. S'il est reconnu coupable, il n'aura pas le droit de diriger une entreprise pendant 10 ans. La séquestration de patrons, à la mode chez les Français, est un phénomène qui n'a pas atteint le Québec... du moins pas encore.

De 20 à 25 %

C'est le pourcentage de nouveaux emplois créés bon an mal an au Québec par des entreprises qui en sont à leur première année d'existence. Or, ces nouvelles entreprises sont aussi plus fragiles, puisque le quart d'entre elles n'atteignent pas souvent leur deuxième année...

Source : Ministère du développement économique, de l'innovation et de l'exportation (MDEIE)

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