Codère - Bientôt fini les restrictions sur l'iPad en avion

Publié le 10/12/2012 à 10:09

Codère - Bientôt fini les restrictions sur l'iPad en avion

Publié le 10/12/2012 à 10:09

BLOGUE. La consigne ridicule qui force les passagers d'avions à ranger leurs appareils électroniques lors des phases de décollage et d'atterrissage pourrait bientôt être chose du passé.

Si j'en ai contre cette règle, c'est d'abord et avant tout la faute d'une hôtesse de l'air particulièrement condescendante dans son application lors d'un récent voyage. En réalité, elle est au pire agaçante, au mieux sans conséquence.

Mais voilà que le site dédié à la politique américaine The Hill rapporte que le président de la Federal Communications Commission (FCC) a écrit à son homologue de la Federal Aviation Administration (FAA) pour lui demander de « permettre un usage plus grand des tablettes, liseuses électroniques et autres appareils portables » durant les vols.

L'histoire ne dit pas si Julius Genachowski, de la FCC, a agi ainsi après être tombé sur la même hôtesse de l'air que moi…

Officiellement, la FAA a amorcé cet été un processus de révision de ses règles touchant l'utilisation d'appareils électroniques à bord. Visiblement, les progrès sont un peu trop lents au goût de M. Genachowki. On ne sait qu'une chose de cette révision : elle ne touchera pas les communications vocales, qui continueront d'être interdites.

Même si on parle ici d'organismes américains, il est évident que les décisions de la FAA auront un impact immédiat sur les vols canadiens.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.