Attirés par le côté " terre-à-terre "

Publié le 25/09/2010 à 00:00

Attirés par le côté " terre-à-terre "

Publié le 25/09/2010 à 00:00

Par Suzanne Dansereau

" J'AURAIS ÉTÉ FOU DE PASSER À CÔTÉ DE CETTE OCCASION "

" Mon père va me céder 25 % de l'entreprise dont il est propriétaire à 50 %. Déjà, je m'occupe du développement des affaires et de la gestion administrative. Ma mission est de développer de nouveaux marchés. Nous venons de pénétrer l'Alberta. Nous bâtissons une usine à Edmonton. Nous avons aussi une nouvelle filiale de dessin d'atelier et d'ingénierie qui s'ajoute à nos ventes de structures d'acier.

" Au cours des prochaines années, nous envisageons - avec prudence - de nouvelles acquisitions dans la conception-construction et le métal ouvré. Pour bien relever ces défis, j'avais envisagé de m'inscrire à un MBA, mais j'hésitais. Il aurait fallu que je quitte l'entreprise pour deux ans ou encore que je le fasse sur six ans à temps partiel. J'ai regardé plusieurs programmes, mais l'horaire était un gros problème. J'ai deux enfants et, pour moi, la conciliation travail-famille est cruciale. Avec l'EEB, je manque seulement deux jours de travail dans ma semaine. J'aurais été fou de passer à côté de cette occasion. "

Nom : David Drouin

Âge : 28 ans

Titre : Ingénieur civil et directeur, développement des affaires

Entreprise : Quirion Métal

Activité : Structures d'acier

Siège social : Saint-Joseph-de-Beauce

" JE M'INSCRIS À L'ÉCOLE POUR STRUCTURER NOS CHANGEMENTS "

" Nous sommes en processus de relève de la deuxième à la troisième génération. Parallèlement à cette démarche, notre entreprise est en pleine transformation. Elle doit répondre à l'importation chinoise et à la force du huard. Comment exporter à parité avec le dollar américain ? Nous nous orientons vers une production plus flexible, en plus petite quantité, mais en plus grande variété. Mais il faut que l'usine suive. Composer avec le changement organisationnel, d'un côté, et la relève, de l'autre, n'est pas facile. Je m'inscris donc à l'école pour trouver les bons ingrédients, pour structurer ces changements. Ce qui m'a plu à l'EEB, c'est le côté "terre à terre" de la formation et le coaching d'entrepreneurs d'expérience. Un MBA à l'université, c'est bien, mais côtoyer pendant deux ans des collègues et des entrepreneurs, c'est mieux. "

Nom : Martin Tardif

Âge : 35 ans

Titre : Vice-président exécutif

Entreprise : Bestar

Activité : Fabrication de meubles de bureau

Siège social : Lac-Mégantic

" QUAND J'AI PRIS CONNAISSANCE DU PROJET DE MARC DUTIL, ÇA M'A ALLUMÉ "

" Après nous être concentrés dans l'aménagement paysager, notre entreprise, qui existe depuis 25 ans, s'est lancée dans le commerce de détail en réinventant la jardinerie. Nous voulons étendre ce concept dans d'autres villes et nous venons d'ouvrir un magasin à Trois-Rivières. Nous voulons moduler notre offre selon les différents marchés, un peu comme la SAQ le fait. Pour ma part, je dois recruter une équipe qui m'accompagnera dans cette expansion-diversification. C'est ici qu'intervient ma formation à l'EEB. J'ai toujours appris en frayant avec des gens plus expérimentés que moi, qui m'ont aidé à prendre de bonnes décisions. J'avais envisagé une formation à HEC Montréal, mais j'aurais dû m'éloigner de l'entreprise. Quand j'ai pris connaissance du projet de Marc Dutil, ça m'a allumé. Il y aura beaucoup d'échanges et pas de théorie. Je crois que cette formation va me permettre de gagner du temps. C'est aussi un projet de famille. J'ai emmené mes quatre enfants pour leur montrer où papa irait à l'école. Mon fils de 11 ans a déjà décidé qu'il irait étudier là-bas, lui aussi ! "

Nom : Patrick Garneau

Âge : 35 ans

Titre : Directeur et associé

Entreprise : Signé Garneau Paysagiste

Activité : Aménagement paysager

Siège social : Victoriaville

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