Les fonds serviront à bâtir des usines pour fabriquer de nouveaux microprocesseurs plus petits, moins énergivores et plus performants.
Les investissements seront réalisés dans des usines situées dans les États de l’Oregon, de l’Arizona et du Nouveau-Mexique et permettront, selon l’entreprise, de maintenir 7 000 emplois «spécialisés et hautement rémunérés».
Intel, qui compte 45 000 employés aux États-Unis, soutient qu’avec cet investissement, 75% de sa capacité de production de semi-conducteurs et de ses activités de recherche et développement seront effectuées au pays.
Le titre d’Intel était stable à 14,91 dollars américains au Nasdaq en début de séance.