Globalive entend toujours devenir un nouveau joueur dans le secteur des téléphones cellulaires à l'échelle canadienne, et son chef de la direction assure qu'il continuera à tester les connexions de réseau de son entreprise.
Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) a récemment statué que Globalive, sous la bannière WIND Mobile, n'était pas une société gérée et contrôlée par des intérêts canadiens.
Mais le patron de Globalive, Anthony Lacavera, voit une lueur d'espoir dans le fait que le CRTC ait statué que les sociétés de télécommunications Rogers, Bell et Telus devaient continuer à coopérer dans le cadre des tests de leurs réseaux, tant et aussi longtemps que le statut de firme de télécommunications sans fil de Globalive n'était pas révoqué.
M. Lacavera a affirmé ne pas avoir l'intention de renoncer à son intention de se lancer en affaires dans le secteur de la téléphonie mobile.
Le ministre fédéral de l'Industrie, Tony Clement, examine actuellement la décision du CRTC.
Certaines rumeurs veulent que Rogers et le nouveau joueur Dave Wireless soient intéressés par le spectre sans fil de Globalive, dans l'éventualité où cet actif devenait disponible.