Lors d’une réunion préparatoire au lancement d’un nouveau produit, les participants ont passé leur temps à souligner à quel point le projet était bon, sur tous les plans. Mais à la toute fin, le PDG a demandé : «Au fait, quelles sont les faiblesses de notre projet?».
Silence général. Jusqu’à ce qu’une petite voix s’élève timidement, pour expliquer qu’à son avis, le projet ne permettrait à l’entreprise que de prendre la deuxième place du marché visé, en aucun cas la première.
Que croyez-vous qu’il soit arrivé? Nilofer Merchant, conseillère en matière d’innovation, raconte la suite de l’histoire, en soulignant à quel point, finalement, un bon leader doit aussi avoir un côté rebelle…