Ce rebond est associé à la décision de l’Organisation des pays producteurs de pétrole de se réunir plus tôt que prévu pour discuter d’éventuelles baisses de production. La rencontre est a ainsi été devancée au 24 octobre à Vienne.
Selon les analystes sondés par le Financial Times, les baisses de production seraient de l’ordre d’un million de barils par jour. Même l’Arabie saoudite, un pays plutôt réfractaire à fermer son robinet industriel, se serait rangée aux côtés de l’Iran, l’Irak et le Venezuela, les plus farouches supporteurs de la baisse de production.
Ce rebond du pétrole a été favorable aux titres énergétiques à la bourse de Toronto. Ils avaient gagné 3,3% à la mi-journée.