Des progrès ont été enregistrés dans les discussions, mais aucun accord ne devrait être finalisé avant la limité fixée par le gouvernement, précise-t-on de mêmes sources. L'administration Bush avait consenti des prêts de 9,4 milliards de dollars (7,4 milliards d'euros) à General Motors et quatre milliards de dollars (3,1 milliards d'euros) à Chrysler.
General Motors et Chrysler doivent prouver qu'ils peuvent rembourser les milliards de dollars empruntés mais aussi rester viable malgré la chute vertigineuse des ventes.
Selon un responsable du Département du Trésor, qui a requis l'anonymat, l'administration Obama doit verser mardi une aide supplémentaire de quatre milliards de dollars à General Motors.
David Axelrod, conseiller du président Barack Obama, a souligne dimanche qu'un plan de sauvetage de l'industrie automobile américaine nécessiterait des "sacrifices" de la part de toutes les parties impliquées, des travailleurs aux directeurs, des actionnaires aux créanciers.