C’est du moins ce qu’affirme la direction de Chrysler, en soulignant que le constructeur automobile italien «ne recevra pas un cent des aifdes publiques déjà perçues». Chrysler a demandé à Washington une aide de 9 milliards de dollars américains, et en a déjà reçu 4 milliards.
En janvier, Fiat et Chrysler ont conclu une entente de partenariat selon laquelle l’Italien acquiert 35% du capital de l’Américain. L’intérêt pour Fiat est d’accéder directement au marché américain ; celui pour Chrysler, c’est de bénéficier de la technologie italienne, avec ses petits modèles de voitures, moins gourmands en essence que les voitures américaines.
Avec Reuters.