Ainsi, à 14h25, le contrat février sur le brut léger américain perdait 3,25dollars américains, soit 8,01%, à 37,56 dollars américains le baril.
De son côté, le Brent cédait 1,83 dollar américain, soit 4,012%, à 42,59 dollars américains.
Vers une prochaine hausse des cours ?
Cela étant, des facteurs haussiers pointent à l'horizon. Par exemple, l'Arabie saoudite, premier exportateur mondial de pétrole, aurait l'intention de réduire sa production de brut davantage que prévu par l'Opep. Cette mesure viserait à contrer la dégringolade du marché.
La réduction supplémentaire décidée par Ryad pourrait atteindre les 300 000 barils par jour, selon différentes sources.
L'Opep prévoit se réunir en mars prochain pour faire le point sur la situation du marché. Le représentant iranien au cartel a déclaré que l'Organisation pourrait à nouveau réduire sa production, si les cours reculaient davantage.
Avec Reuters.