Mais Mohammed al-Eleim a ajouté que toute décision devrait trouver un équilibre entre la nécessité de baisser la production, l'impact sur l'économie mondiale en pleine crise et les besoins des pays producteurs de financer des projets de développement.
Deux précédentes baisses de production décidées par les 13 pays de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole n'ont pas réussi à enrayer la chute des prix du pétrole, qui ont perdu environ 65 pour cent par rapport à leur record de la mi-juillet de près de 150 $ US.
Lundi matin, vers 9h20, à New York, le baril de brut léger pour livraison en janvier se vendait 49,28 $ US, en hausse de 3,00 $ US.