Le producteur québécois de bois traité sous pression Stella-Jones a amélioré son résultat net de 25% au premier trimestre par rapport à l'an dernier.
Il a atteint 18,8 M$, ou 1,09 $ par action, comparativement à un résultat net de 15 M$, ou 94 cents par action, au premier trimestre de 2012.
Il s'agissait du premier trimestre complet incluant les résultats opérationnels de l'entreprise McFarland Cascade Holdings, qui a été acquise le 30 novembre dernier.
Les ventes de Stella Jones ont atteint 217 M$, en hausse de 58,2 M$, ou 36,7 %, par rapport aux ventes de 158,8 M$ réalisées lors de la même période, l'an dernier.
Les installations d'exploitation acquises de McFarland ont contribué aux ventes à hauteur d'environ 65 M$.
Les ventes de traverses de chemins de fer se sont élevées à 96,5 M$. Elles ont progressé de 0,5 pour cent par rapport aux ventes de 96 M$ réalisées un an plus tôt.
Les ventes de poteaux destinés aux sociétés de services publics ont atteint 90,8 M$, en hausse par rapport aux ventes de 43,5 M$ lors de la période correspondante du précédent exercice.
Toutefois, les ventes de produits industriels se sont chiffrées à 11,9 M$, comparativement à 15,2 millions $ l'an dernier.
Quant aux ventes de bois d'oeuvre à usage résidentiel, elles ont totalisé 17,9 M$, en hausse par rapport aux ventes de 4,2 M$ réalisées
à la même date, un an auparavant.
Le président et chef de la direction de Stella-Jones, Brian McManus, a souligné que l'intégration des activités de McFarland et la construction et le démarrage d'une nouvelle usine de traitement du bois à Cordele, en Géorgie, avaient progressé selon les plans. Selon lui, ces initiatives renforceront encore davantage la présence de Stella-Jones dans le marché des produits en bois traité.
Le conseil d'administration a déclaré un dividende trimestriel de 20 cents par action ordinaire, payable le 28 juin.