La première édition du Salon du luxe durable appelé «1.1618 sustainable luxury fair» a fermé ses portes ce dimanche à Paris.
Il s'agissait de «fédérer les acteurs du nouveau luxe pour imaginer, aux côtés des artistes, comment le faire rimer avec développement durable». Une trentaine d'exposants y ont participé, dont des joailliers, des designers et une entreprise d'éco-tourisme de luxe qui propose, par exemple, un séjour durable aux îles Fidji à près de 2,000$ par jour. Des artistes ont également proposé certaines de leurs oeuvres.
Le journal Le Monde raconte qu'on y faisait la promotion de catamarans en acajou; de sacs à main en alligator non traité; de hors-bord à propulsion solaire; d'une voiture de course tout-électrique, capable de battre une Ferrari sur une autoroute; et de bijoux en «or bio», c'est-à-dire extrait d'une mine de Colombie «sans détergeant, ni mercure ni cyanure».
Le Salon est soutenu par le ministère français de la Culture et la WWF. Les exposants ont été sélectionnés par un comité d'experts en développement durable. Dans le programme du Salon, la WWF indique qu'une «stratégie empreinte de responsabilité sociale et environnementale participe à l'amélioration de l'usage du luxe, répondant ainsi aux attentes d'excellence des consommateurs des produits de luxe».
Pour en savoir plus: www.1618-paris.com/1618_francais.html