Selon Guy Phaneuf, directeur des instruments de dette chez BMO, cela témoigne d'une certaine reprise de confiance des investisseurs qui se tournent vers des devises plus à risque, comme le dollar canadien, qui est lié à la valeur des ressources naturelles, elles aussi en hausse.
De plus, la hausse du huard représente un retour du balancier. «Le dollar canadien n’aurait jamais dû tomber de façon aussi dramatique. C’est aussi un ajustement puisque notre système financier a été super fort, les banques canadiennes ont continué à faire des profits ce que les autres banques européennes et américaines n’ont pas fait. Et à un moment donné, on a eu un moment de panique vers le dollar américain».
Selon NTR