La bonne nouvelle : ces 56 pays - et non 55 comme il était mentionné dans un communiqué officiel - représentent 78% des émissions mondiales liées à la consommation d'énergie. «Ceci revigore de façon importante les discussions de l'ONU sur le changement climatique», a estimé son Secrétaire exécutif, Yvo de Boer.
«Mais je considère ces promesses comme des signaux clairs marquant la volonté de faire aboutir les négociations », a-t-il dit.
Le prochain cycle de négociations formelles est prévu à Bonn, en Allemagne, à la fin du mois de mai 2010. Plusieurs pays ont communiqué leur désir de retourner rapidement aux négociations avec davantage de réunions que les séances prévues.
Dans l'Accord de Copenhague, qui en a déçu beaucoup, les participants du Sommet se sont notamment engagés à maintenir la hausse des températures en dessous de deux degrés Celsius par rapport à l'ère préindustrielle. Ils se sont également convenu de l'importance d'agir pour réduire les émissions provenant de la déforestation et de la dégradation des forêts.