Les montants envisagés n’ont pas été dévoilés. Cependant, il s’agirait de la même structure qui détient la participation de l’État français dans la financière franco-belge Dexia, sauvée de la faillite.
Il s’agit de doter l’État de la capacité d’intervenir "rapidement et sans délai, y compris par des prises de participation. Adoptant le modèle de quasi-nationalisation qu’avait choisi Londres, le fonds sera appelé "à recapitaliser la banque, à en maîtriser la stratégie et la gestion, à la redresser et à remettre les participations de l'Etat sur le marché lorsque les circonstances le permettront".
Le premier ministre, François Fillon, sollicitera le Parlement pour permettre la création de ce fonds.