Malgré l’ampleur de la somme, cette dernière a reculé de 10% par rapport aux chiffres de 2007 qui constituaient un record s’établissant à 155 M$, rapporte La Presse.
Cette baisse est toutefois minime si on la compare avec la perte des actionnaires de ces mêmes banques qui ont subi une atrophie de 21% de la valeur boursière de leurs titres au cours de 2008.
Un écart semblable sépare la baisse de rémunération des banques et le recul moyen du bénéfice des banques en 2008, autour de 20 pour cent.
Le quotidien de Montréal ajoute que c'est la Banque Nationale qui a le plus augmenté la rémunération de ses cinq principaux dirigeants, alors que la CIBC demeure en tête du palmarès de la rémunération.
Ces chiffres sont tirés des circulaires des banques.