«Earl Jones doit servir de modèle. Actuellement, les peines des fraudeurs sont ridiculement courtes », affirme l’organisatrice de l’événement, Cherie Beluse. Sa mère est une des présumées victimes d’Earl Jones. Celle qui est venue des États-Unis expressément pour l’événement précise que les fraudeurs québécois n'ont qu'à sacrifier deux ans de leur vie pour des fraudes évaluées à des dizaines de millions.