General Motors est ainsi parvenu à se tirer du joug de la loi américaine sur la protection des créanciers, en confirmant le transfert officiel de ses actifs à une nouvelle entreprise contrôlée par le gouvernement des États-Unis.
Cette sortie intervient après la signature de documents destinés à transférer la plus grande partie des actifs du groupe vers une nouvelle entreprise créée pour reprendre les actifs les plus rentables du groupe.
L'Etat fédéral américain lui apportera 30,1 milliards $ US et 60,8 pour cent de son capital.
Le constructeur automobile s'est placé sous la protection de la loi sur les faillites pendant 40 jours. Soit le délai le plus court de l'histoire aux Etats-Unis pour un groupe de cette importance, selon un spécialiste.
Avec PC.