Tandis que les experts tentent d’anticiper l’effet de l’issue de l’élection américaine sur les marchés boursiers, Ruchir Sharma, stratège chez Morgan Stanley, avance que l’enjeu n’est pas si important pour Wall Street, dans une lettre d’opinion publiée dans le New York Times. « Ma recherche datant de 1860 montre que la Bourse n’a pas de préférence et que la volatilité avant une élection est quelque chose de normal, écrit-il. Le marché est un baromètre économique, pas politique. »