Les profits ont été très bon lors de la dernière année pour la Banque Laurentienne, mais le secteur valeurs mobilières et marchés des capitaux représente une part infime des profits. Il s’aigit effectivement du quatrième moteur de la croissance, affirme Réjjean Robitaille. «Nous avançons à petits pas», affirme-t-il. M. Robitaille était invité au Rendez-vous financiers Les Affaires.