Aucun chiffre officiel ne circule, mais de l'avis des entreprises qui ont dans leurs effectifs des travailleurs étrangers, leur taux de rétention est sensiblement le même que ceux des travailleurs québécois. Tout dépendra des conditions d'installation du travailleur mais aussi de sa famille (le conjoint trouvera-t-il du travail, le petit dernier pourra-t-il être inscrit dans une garderie ?). C'est pour cela que les agences de relocalisation (voir question 15) se multiplient. Les entreprises ont compris l'importance de ce volet et les plus grandes n'hésitent pas à sous-traiter cet aspect pour permettre une meilleure intégration du nouveau travailleur.