On a donné BCE pour morte plus d’une fois. Titre malmené, clients qui décrochent par milliers, marque décriée et même ridiculisée... Depuis la déréglementation, il y a beaucoup de friture sur la ligne entre BCE et ses interlocuteurs. Dépossédée de son monopole, BCE a surfé sur toutes les vagues en quête d’une identité: diversification, recentrage, fiducies de revenus, privatisation, acquisitions... On apprend aujourd’hui qu’elle allonge 3,4 G $ pour mettre la main sur Astral. Le phénix est-il en train de renaître ses cendres ? Voici quelques dates clés de l'histoire récente de Bell.